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 De la doctrine du « gender »!

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MessageSujet: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeLun 6 Juin - 23:50

LE NOUVEAU TOTALITARISME EST EN MARCHE ...


Tiré du site "LES MANANTS DU ROI"


Il s'inscrit dans les nouveaux programmes du cours « Sciences de la Vie et de la Terre » en classe de première... De la doctrine du « gender »! Ou comment nier la complémentarité naturelle entre les sexes... A quand cet enseignement dans les maternelles?


Bien plus qu' à une objection de conscience, n'est-ce pas à la « guerre » que nous devrions nous préparer ?

Portemont, le 31 mai 2011

Le « gender » au programme des lycées

Inscrite officiellement dans les nouveaux programmes de SVT de première (S, L et ES), la doctrine du gender fera désormais partie de l’enseignement obligatoire des lycées français à partir de la rentrée†2011.

Le gender nie la complémentarité naturelle entre les sexes

S’il fallait désigner un seul nom pour illustrer la doctrine du gender, ce serait assurément celui de la philosophe américaine Judith Butler qui viendrait immédiatement à l’esprit.



L’ouvrage qu’elle a publié aux États-Unis en 1990 : « Gender Trouble » : « Feminism and the subversion of Identity » demeure le modèle incontournable des programmes universitaires anglo-saxons sur la question . De l’autre côté de l’Atlantique, aucun campus digne de ce nom n’est dépourvu de son département de gender studies. Toutefois, cette théorie n’aurait pu acquérir l’influence qu’elle exerce aujourd’hui sur la scène internationale sans la tenue en 1995 de la Conférence des Nations Unies de Pékin sur la femme qui en a fait le cadre porteur d’une société nouvelle où les comportements sexuels seraient enfin débarrassés de leurs « archaïsmes moraux et religieux », comprenez chrétiens.

Derrière le concept de « gender » se cache en effet une idéologie qui nie la différence sexuelle et la complémentarité naturelle entre l’homme et la femme. Le mot sexe qui renvoie trop à une détermination objective et naturelle est remplacé par celui de genre où féminin et masculin sont des constructions socioculturelles purement arbitraires qu’il est possible de défaire.

Le gender qui fait déjà l’objet d’un enseignement obligatoire à Sciences-Po sera également au menu des cours de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT) dans toutes les classes de première à partir de la prochaine rentrée. Le ministère de l’Éducation l’a en effet inclus dans le module
« Féminin/masculin » au programme de cette matière et plus particulièrement dans les nouveaux chapitres « Devenir homme ou femme » et « Vivre sa sexualité », qui prendront place après la partie consacrée à la « Maîtrise de la procréation » (Bulletin officiel spécial, n° 9 du 30 septembre 2010, Thème 3-A).

Défaire la « matrice hétérosexuelle » de la société

D’une manière générale, les chapitres en question sont une attaque en règle contre la loi morale naturelle, rejetant toute signification anthropologique et éthique à la différence naturelle des sexes. « Dans ce nivelage, la différence corporelle, appelée sexe, est minimisée, tandis que la dimension purement culturelle, appelée genre, est soulignée au maximum et considérée comme primordiale. Selon cette perspective anthropologique, la nature humaine n’aurait pas en elle-même des caractéristiques qui s’imposeraient de manière absolue : chaque personne pourrait se déterminer selon son bon vouloir, dès lors qu’elle serait libre de toute prédétermination liée à sa constitution essentielle » .

Pour le « gender » en effet, l’homme et la femme n’ont pas de dynamisme naturel qui les pousserait l’un vers l’autre, seuls les conditionnements sociaux rendraient compte de cette soi-disant inclination. A l’appui de cette thèse, Nathan cite ce texte hautement contestable : « Les sociétés forgent des modèles et des normes associés au féminin et au masculin. Dès le plus jeune âge, chacun va inconsciemment être imprégné par un schéma identitaire auquel il doit se conformer pour être accepté et reconnu par le groupe social. Ces attitudes sont tellement intériorisées que nous reproduisons les stéréotypes sans nous en rendre compte » (p.190). Le « gender » promeut une anthropologie alternative refusant que la différence sexuelle inscrite dans le corps possède naturellement un caractère identifiant pour la personne.

Bordas fait lui aussi découler la prédominance de l’hétérosexualité du contexte culturel et social dans lequel nous baignons : « Si dans un groupe social il existe une très forte valorisation du couple hétérosexuel et une forte homophobie, la probabilité est grande que la majorité des jeunes apprennent des scénarios hétérosexuels »(p. 182).

Pour illustrer leur démonstration, les manuels citent l’existence dans d’autres espaces culturels de « troisièmes genres », « ni homme, ni femme », comme les Hijras en Inde (Belin, p.145) ou les Mahu en Polynésie (Bordas, p. 176).

Une fois inculqué aux élèves que la différence des rôles assignés à l’homme et à la femme dans une société donnée est produite par la culture, il est loisible de s’affranchir du modèle hétérosexuel et de relativiser l’inclination naturelle vers l’autre sexe. Ne s’agit-il pas de dissocier la société de sa matrice hétérosexuelle comme le préconise Judith Butler ?

Le « gender » dissocie identité sexuelle et orientation sexuelle

Conséquence logique du raisonnement, l’orientation sexuelle est clairement déconnectée de l’identité sexuelle, l’homosexualité ou la transsexualité relevant de la liberté souveraine des individus. L’hétérosexualité n’a en aucun cas le privilège de l’universalité : « Je peux être un homme et être attiré par les femmes. Mais je peux aussi me sentir 100 % homme viril et être attiré par les hommes. Et je peux être une femme attirée par les hommes ou une femme attirée par les femmes. » (Belin, p. 133).

Bordas fait état d’une étude récente « qui montre bien l’influence du contexte culturel et social : à Hambourg en 1970, dans les années de la révolution sexuelle, 18 % des adolescents avaient des activités homosexuelles alors qu’en 1990, avec le SIDA et les changements culturels, ils n’étaient plus que 2 % » (p. 182). L’homosexualité serait donc élue d’autant plus facilement que la société l’accueillera « sans discrimination » (Nathan, p. 181).

Les bases biologiques du plaisir sexuel
D’une manière générale, c’est la sexualité humaine qui est totalement « désacralisée » au fil des pages. La masturbation, martèle Belin, jadis encouragée dans l’Antiquité, n’est devenue un « péché » qu’avec « l’avènement du monothéisme en Occident ». Heureusement, depuis les années 70 elle est à nouveau considérée « comme une activité sexuelle normale » (p. 139). Le même éditeur fait d’ailleurs de cette pratique un critère de puberté ou indicateur de maturité sexuelle (p. 132).

Mais surtout, les nouveaux programmes font dépendre l’activité sexuelle de l’activation du
« système de récompense » présent dans le cortex cérébral des primates hominoïdes (chimpanzé, bonobo, homme). Contrairement aux autres mammifères (mouton, rat) dont le comportement sexuel est contrôlé essentiellement par les hormones, la sexualité humaine est la résultante d’un circuit de récompense commandé par des aires cérébrales selon le schéma suivant : désir > action > satisfaction.

L’évolution chez l’animal a abouti à une diminution de la dépendance hormonale au profit d’un contrôle cérébral devenu prépondérant chez l’homme. Pour Nathan, « le système de récompense fournit la motivation à notre comportement dans l’attente d’une gratification. Le comportement sexuel est ainsi guidé par la recherche du plaisir attendu » (p. 195). Son collègue Belin cite les propos d’un chercheur en neurosciences et sexologie : « Au cours de l’évolution, l’influence des hormones et des phéromones diminue tandis que l’influence de la cognition et du système de récompense cérébral augmente. Libérées des contraintes hormonales, les activités sexuelles peuvent exister dans de nombreuses situations qui n’ont plus aucun rapport avec la reproduction. Les récompenses cérébrales, perçues comme sensations érotiques intenses, deviendraient le principal facteur à l’origine des activités sexuelles » (p. 137). Pour ce chercheur, le système de récompense présent dans notre cerveau permet un comportement érotique essentiellement fondé sur « la maximalisation du plaisir ».

Dissocier sexualité et procréation

Ce modèle d’explication induit deux conséquences majeures sur le plan anthropologique.

Premièrement, le cortex cérébral étant le support des fonctions cognitives de l’être humain (Nathan, p. 197), elles-mêmes modelées par le contexte culturel et éducatif de la société, l’idéologie du gender est « validée » sur le plan scientifique dans un raccourci saisissant. Nous adoptons certains comportements stéréotypés parce que notre cerveau a été stimulé depuis la plus petite enfance par des messages véhiculés par la société.

Scientifiquement, l’hétérosexualité n’est pas une réalité fondatrice des relations humaines mais la conséquence de l’imprégnation du milieu social sur la composante cognitive de notre cortex.

Les primates hominoïdes et singulièrement l’homme ayant dissocié leur comportement sexuel de la fonction de reproduction, la « maîtrise technique de la procréation » est en quelque sorte un « produit culturel » qui s’inscrit nécessairement dans le cadre explicatif de la théorie de l’évolution. La procréation doit être radicalement désolidarisée de la sexualité. Les droits à la contraception, à l’avortement et à la procréation artificielle sont bien les nouveaux impératifs catégoriques de la (r)évolution culturelle en cours, ceux qui permettront aux individus d’exercer un pouvoir effectif sur leurs corps sans lequel il n’y a pas de remise en cause possible des « valeurs traditionnelles ». N’est-ce pas les « féministes du gender » qui ont forgé dans les années 90 le concept de « santé reproductive » ? Aussi les trois manuels que nous avons pu étudier insistent-ils tous sur l’IVG médicamenteuse et la contraception d’urgence dont la nouvelle pilule du lendemain occupe déjà une place de choix qui sont autant de moyens de contrôler chimiquement la fonction de reproduction (cf. Nathan, p. 178).

On l’a compris, le gender est particulièrement difficile à contrer intellectuellement. Vous aurez beau accumuler des arguments fondés sur la nature et la raison, vos adversaires vous rétorqueront qu’ils ne sont que la résultante de facteurs culturels, et qu’ils vous semblent d’autant plus évidents qu’ils ont une position hégémonique dans la société.

Vers une objection de conscience ?

Les promoteurs du gender n’ont jamais caché vouloir faire de la subversion de l’éducation un axe essentiel de leur combat. Rien de tel pour formater les consciences des jeunes de tout un pays que de contrôler les programmes et les manuels scolaires. L’importance des changements opérés dans les classes de première est telle qu’on peut parler sans exagérer d’une « zapatérisation » des programmes de l’Éducation nationale. Or, si l’on regarde de l’autre côté des Pyrénées, on s’aperçoit que des dizaines de milliers de familles catholiques avec le soutien appuyé de la Conférence épiscopale espagnole et le concours de juristes compétents se sont d’ores et déjà organisées pour contester les cours obligatoires sur le gender du gouvernement Zapatero, voire retirer leurs enfants en posant un acte d’objection de conscience. Allons-nous devoir en arriver là en France ?

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Lys de France

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMar 7 Juin - 1:19

Voici l'article sur l'Observatoire du Royalisme :

http://franceroyale.e-monsite.com/blog,theorie-du-genre-mammouth-et-lobby,991603763.html

Extrait :

Cette théorie du genre, outre son absence totale de prise en compte de la réalité biologique et scientifique, représente un extrême danger pour la société, surtout si elle commence à être cautionnée par le Mammouth National, qui lui apporte ainsi un crédit incomparable et une porte ouverte aux jeunes esprits de nos têtes blondes.

Parce que la théorie du genre est une pensée nihiliste, détruisant implacablement l’édifice national en dissolvant sa base même : la famille par deux voies, la destruction du couple mais également la destruction de l’enfant.

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMar 7 Juin - 19:06

A signer ! L'égalitarisme républicain dans toute sa splandeur !
http://www.afc-france.org/education/petition-education
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Lys de France

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMar 7 Juin - 21:46

Signée et partagée ! + 5 signatures (oui, même le petit dernier lutte contre l'égalitarisme chez nous)... Very Happy
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMer 8 Juin - 19:21

Lobbying au nom de leur égalité !

https://www.dailymotion.com/video/xj61wu_nous-exigeons-l-egalite-des-droits_news

https://www.dailymotion.com/video/xbx1mu_identite-nationale-la-nausee-eric-b_news

https://www.dailymotion.com/video/xc8i76_pantheres-roses-et-furieuses-fallop_news
Le 9 juin 2011, sera discuté à l’assemblée nationale une proposition de loi qui permettrait enfin l’accès au mariage aux couples de mêmes sexes. Nous appelons toutes celles et ceux qui se battent pour l’égalité des droits à se rassembler ce Jeudi 9 juin à 19h00 à la place du commerce de Nantes pour soutenir cette proposition de loi.

Exclusion du mariage, de la parentalité, impossibilité de changer d’état civil sur simple déclarat...ion : en France, la loi continue à faire des gays, des lesbiennes des trans des sous-citoyenNEs. Ces inégalités dans la loi contribuent de fait à la hiérarchisation des modes de vies, des sexualités et des identités de genre. Le droit affirme que les couples, les familles, les vies des gays, des lesbiennes, des trans ont moins de valeurs que celles des hétérosexuelles et des cis (personnes non trans). Cette homophobie et transphobie d'État ne fait qu'accréditer les discriminations auxquelles les lesbiennes, gays bis et trans doivent déjà faire face quotidiennement.

Pour toutes ces raisons, nous exigeons l’égalité des droits maintenant !

Nous attendons de l’ensemble des députés qu’ils et elles votent pour cette proposition de loi, au nom de l’article 1 de la constitution qui "assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens" et citoyennes. L’heure n’est plus au « débat », aux bonnes intentions ou aux promesses : l’égalité des droits n’est pas négociable. Les députés qui voteront contre cette proposition de loi affirmeront haut et fort qu’elles et ils sont pour l’inégalité des droits.

L’adoption de cette proposition de loi doit être un premier pas vers l’égalité totale des droits entre hétéros, cis, lesbiennes, gays, bis et trans (plateforme de revendication ci-après).

Nous n’attendrons pas 2012 ou tout autre horizon lointain, nous voulons l’égalité maintenant !

Les Dures à queers
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMer 8 Juin - 19:58

Merde, pas de contre-manifestation organisée ? Genre les "Virils et Normaux" VS "Dures à Queers" ? Laughing
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Julien

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeJeu 9 Juin - 0:00

Les homos et trans sont ils les derniers réactionnaires pour ainsi réclamer un mariage républicain que tout le monde boude ???!!!!
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Lys de France

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeJeu 9 Juin - 0:45

Citation :
Les homos et trans sont ils les derniers réactionnaires pour ainsi réclamer un mariage républicain que tout le monde boude ???!!!!

Apparemment oui... Laughing

Le plus gros problème, c'est que le mariage homo (qui arrivera à n'en pas douter avec les politicards républicains actuels Evil or Very Mad ) est le premier pas vers l'adoption des homos, et là, ça devient beaucoup plus grave parce qu'il y a l'enfant en jeu. Mais bon, la théorie du genre aidant, les français ne verront pas la différence entre des parents normaux et des parents hétéros.... Triste et affligeant. Crying or Very sad
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coislin

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMar 14 Juin - 4:02

Bonsoir à tous,

Belin en citant les hijra oublie de dire que ce système est celui d'un esclavage organisé :

Citation :
Les hijras forment des communautés très structurées, les chelas (disciples) autour de guru. Une parenté fictive s'y organise. La dépendance financière paraît être la clé de voûte de l'organisation du groupe. Tout est payé, les chelas qui rapportent le plus (par leur habileté de musiciens ou de danseurs, la mendicité ou la prostitution) sont achetés et revendus de guru en guru. Le chela peut avoir à reverser la totalité de ses revenus au guru et la circulation de dettes accumulées, et sans cesse grandissantes, prend parfois des proportions phénoménales. Enfin, quand il se marie avec un homme, il partage sa vie et continue à travailler pour sa communauté, où son statut est amélioré par ce mariage.

Et rendu inamovible par le système des castes... bel exemple de progressisme et de libre choix de son genre ! On naît hijra, et on doit le devenir, mais on ne le choisit pas.


Cependant, s'il me venait à l'idée de me faire l'avocat du Diâaable Laughing je soulignerai l'importance de la construction psycho-sociale du genre et de la notion même de sexe. De là, je pourrais construire une théorie qui, certes, nierait les conditions naturelles, mais justement en s'appuyant sur les ratés de la Nature (que l'on préfèrera ici à la Providence, terme religieux et connoté). Il arrive à la nature de faire naître des veaux à trois pattes ou des siamois, donc il peut lui arriver de se "planter" et faire naitre homme celui qui "aurait du" être femme.
Et puis la notion d'homme ou de femme idéal(e) évolue. Certains portraits de Saint-Just nous paraissent aujourd'hui relativement efféminés, alors que peut-être, à son époque, il fut un bon représentant de la virilité idéologique et corporelle triomphante ?

On ne peut guère contredire le fait que, dans une société où le modèle "traditionnel" est promu, les jeunes seront naturellement portés vers ce modèle et l'hétéorosexualité qui en découle, alors que les schémas homosexuels seront rares ou marginaux. Et inversement. Donc, dans une société qui prône "l'ouverture" et l'abattage des obsolètes murailles et cadres sociaux, il est fort possible de voir une évolution nette vers des choix homosexuels ou bi-sexuels plus nombreux.

En revanche, là où la théorie du gender pose problème, c'est bien par rapport à la PROCREATION : pour l'instant, et malgré les progrès scientifiques, il faut un homme et une femme, pourvus de leurs organes reproductifs respectifs, afin de faire un enfant. Plus encore, il faut qu'ils s'unissent (au sens de con-cubeo). La notion de genre reste donc présente partout où il y a ENFANT, partout donc où il s'agit de TRANSMISSION, d'AVENIR de la société.

En conclusion, toute théorie qui nie le genre nie l'enfant.
Toute théorie qui nie l'enfant nie l'avenir.
Toute théorie qui nie l'avenir nie le genre humain.

A vous !

(PS : Pour Julien : en dévéloppé, ça fera un bon article pour PRO Wink )
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeLun 20 Juin - 22:59

Réflexion très intéressante cher Coislin...

Mais malheureusement, les différences génétiques entre hommes et femmes sont avérés, et ne sont nullement les fruits d'une culture sexuelle propre (on peut lire un article fort intéressant ici : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/06/une-nouvelle-%C3%A9tude-discr%C3%A9dite-la-th%C3%A9orie-du-genre.html )

Notre culture actuelle cultive justement les relents de perversité nauséabond en luttant contre l'ordre naturel des choses. C'est le même principe révolutionnaire appliqué à la sexualité : on oppose une constitution civile crée par un droit positif fondée sur des "valeurs" républicaines qui s'opposent clairement à toute notion de constitution naturelle qui s'appuyait elle sur un droit naturel qui caractérisait ce qui pouvait être fécond.

Après, vous avez raison : la notion d'idéal masculin ou féminin évolue avec le temps mais je ne vois pas vraiment en quoi ça influe la sexualité des hommes.... ça fait évoluer la vision de la beauté mais pas la sexualité il me semble...On pourrait également étudier l'évolution de la vision de la femme (ou de l'homme) par rapport à la déliquescence de la morale suite à l'opposition de la société civile à la société religieuse. scratch
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeDim 26 Juin - 20:24

Un peu dans le même style : les homofous se sont fait refoulés à Brest ! Very Happy

à lire ici : http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/homophobie-le-kiss-in-tourne-court-a-brest-26-06-2011-1349726.php

Même si la violence ne doit pas être cautionnée... Parfois, ça marche bien quand même ! Twisted Evil
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeDim 3 Juil - 23:47

Bonjour,

Ceux qui les ont refoulé... écoutaient du rap homophobe (Sexion d'Assaut?), "aboyaient", "avaient de la haine dans les yeux"... seraient-ce nos amis les "indigènes de la République"?

Twisted Evil What a Face
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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeLun 4 Juil - 1:20

Citation :
Ceux qui les ont refoulé... écoutaient du rap homophobe (Sexion d'Assaut?), "aboyaient", "avaient de la haine dans les yeux"... seraient-ce nos amis les "indigènes de la République"?

Laughing Laughing ça ferait mal à leur "politiquement correct"... Mais je pense qu'on ne le saura jamais. Dommage quand même !
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Julien

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMer 13 Juil - 3:32



Malgré des dizaines de milliers de signataires contre la théorie du Genre dans les programmes de Première

Luc Chatel fait obstinément l'autruche !



Avant vos vacances

faîtes deux bonnes actions!



Interpellez directement le Premier ministre contre le Gender

en collant le texte ci dessous sur le site de Matignon ou en redigeant le vôtre

http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/ecrire



Depuis la plage ou la montagne, envoyez lui cette carte postale pour lui dire votre détermination sans faille.

(à télécharger ici)



http://ecole-deboussolee.org/wp-content/uploads/2011/07/gender1_recto-verso_planche.pdf




Faites circuler ces propositions autour de vous !

Signez la pétition !







Idée de texte à coller dans le formulaire de Matignon



Monsieur le Premier ministre,



La réforme de la classe de Première conduite par Monsieur Chatel voit l'arrivée de la théorie du genre ou théorie du « gender » dans les programmes et les manuels de Sciences de la Vie et de la Terre. La théorie du genre est une théorie philosophique et sociologique mais elle n’est pas scientifique. Elle affirme que l’identité sexuelle (qui serait un concept psychologique et non biologique) est une construction culturelle relative au contexte du sujet.

Ainsi peut-on lire dans le manuel Hachette : « Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n’est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin. Cette identité sexuelle, construite tout au long de notre vie, dans une interaction constante entre le biologique et le contexte socio-culturel, est pourtant décisive dans notre positionnement par rapport à l’autre. Devenir un individu sexué fait partie intégrante de la construction identitaire. »

Ce programme et ces manuels reflètent au moins 3 entorses gravissimes aux valeurs de notre Ecole :


Entorse à sa mission :
L’école doit former l’esprit critique selon les exigences propres de la raison. Le lycée ne saurait dicter des comportements, mais bien former des intelligences. Il ne doit pas devenir une caisse de résonance des opinions ambiantes et versatiles de la société, sous peine de fragiliser les esprits.


Entorse à sa neutralité :
En feuilletant ces manuels, je n’ai pu m’empêcher de songer à la fameuse lettre de Jules Ferry aux instituteurs : « Avant de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s’il se trouve, à votre connaissance, un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Si oui, abstenez-vous de le dire. » Notre code de l’éducation exige d’ailleurs le « respect de la personnalité de l’enfant et de l’action éducative des familles » (art. L. 111-2). Dans ce domaine extraordinairement intime qu’est la sexual ité, à un âge où les jeunes sortent tout juste de l’adolescence et se construisent, ces manuels constituent une grave intrusion dans leur vie. En tout état de cause, les élèves n’ont pas à être examinés par l’Etat en ces domaines.

Entorse à sa liberté :
On ne peut pas obliger les professeurs de SVT à relayer un discours qui sorte du cadre scientifique. Comment pourront-ils évaluer les élèves et les préparer aux épreuves du bac sur de telles options partisanes ? Il est clair, au moins, que la théorie du « gender » ne peut être présentée aux élèves que comme un choix philosophique (dont on voit mal ce qu’il vient faire dans un cours de SVT !) et non comme une réalité indiscutable.

Il est indispensable que soient réaffirmées les véritables missions de l’école en dissipant les équivoques de ou liées à l’interprétation du programme, en garantissant la liberté intellectuelle des enseignants et la liberté de conscience des élèves.

Je demande avec les 32 000 premiers signataires de l'appel de "l'école déboussolée" et selon le principe de la neutralité de l'école publique et de l'égalité républicaine que soit :

- Précisée la portée de la circulaire du 30 septembre 2010 et les programmes que les services de la DGESCO ont voulu définir.
- Interdit l’usage des manuels mis en cause.
- Garanti que le thème du « gender » ne sera pas à la session 2012 des épreuves anticipées du bac ni aux sessions suivantes.
- Transférée le cas échéant l’étude du « gender » dans le domaine du débat critique de l’éducation civique ou de la philosophie.


Assuré que vous saurez vous faire l'écho de cette préoccupation persistante, je vous prie de croire, Monsieur Le Premier ministre, en l'expression de ma haute considération.






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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeMer 13 Juil - 19:48

C'est fait ! En espérant que le ministre arrêtera cette folie! Evil or Very Mad
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Lys de France

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MessageSujet: Re: De la doctrine du « gender »!    De la doctrine du « gender »!  Icon_minitimeJeu 28 Juil - 21:19

Liberté Politique consacre au Gender un dossier complet disponible ici : http://www.libertepolitique.com/les-dossiers-fsp/13-les-dossiers/6837-le-gender-a-lecole

et rappelle le communiqué :

A la suite de la publication sur notre site d’un article de Pierre-Olivier Arduin dénonçant le contenu idéologique des livres de SVT de première L et ES, l’Association pour la Fondation de Service politique a lancé dès la fin du mois de mai une mobilisation sans précédent sur le danger de présenter aux adolescents la sexualité selon cet éclairage idéologique. Cette mobilisation commence à porter ses fruits.

Mais du côté du gouvernement, nous n’avons pas de réponse précise à nos demandes. Nous attendons que les livres de SVT soient remplacés et qu’une convention ouverte soit organisée dès la rentrée, avec des experts (éducateurs, psychanalystes, juristes, philosophe…) et la participation des parents d’élèves, de représentants de la société civile et des élus.

Plusieurs associations se sont mobilisées également avec force : les Associations Familiales catholiques et l’Ecole déboussolée. Leur pétition a déjà recueilli près de 60 000 signatures.

L’Alliance pour un Nouveau Féminisme européen avait lancé dès le 8 mars, Journée internationale de la Femme, un Appel aux ministres de l’Education nationale et au ministre de l’Enseignement supérieur pour que la théorie du gender ne soit pas enseignée comme référence structurante pour les politiques d’égalité homme/femme.

Plusieurs directeurs diocésains de l’enseignement catholique ont réagi auprès du ministre, ainsi que des associations de parents d’élèves.

Quelques journaux ont accepté le débat et ont relayé les questions de la société civile ou d’élus (Le Figaro, Valeurs Actuelles, La Croix, l’Homme Nouveau, la Nef…)

France 2 y a consacré une brève, alors que RCF et Radio Notre-Dame n’ont pas hésité à organiser des débats.

Plusieurs parlementaires ont posé une question écrite à M. Luc Chatel, ministre de l’Education nationale : parmi les sénateurs, Mme Marie-Thérèse Hermange, MM. Philippe Dominati, Bruno Gilles, Bruno Retailleau et au nombre des députés, Mme Véronique Besse, MM. Christian Vanneste, Marc le Fur, Jean-Marc Nesme, Xavier Breton, Philippe Meunier, Jacques Remiller.

Le député Jean-Paul Garraud a diffusé un communiqué le 20 juillet dans lequel il rapporte que « Le Ministre Luc Chatel vient de me confirmer que cette théorie ne fait absolument pas partie du programme des lycéens. »

Monsieur Hervé Mariton a émis pour sa part de sérieuses réserves sur le contenu des livres de SVT.

Enfin, le député Richard Mallié, Questeur de l’Assemblée nationale, vient de lancer auprès de ses collègues un appel à signer une lettre commune.

Mme Valérie Boyer, députée de la 8e circonscription des Bouches-du-Rhône et Secrétaire nationale UMP Santé publique « attire l'attention de M. le Ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, sur les décisions récentes remettant en cause le principe de la liberté de conscience à l’école et l’atteinte au rôle des parents dans l’éducation de leurs enfants. » et relaie la demande de ceux qui ,comme nous, souhaitent que soit « organisé un débat public autour de ce thème ».

Ainsi les parlementaires sont de plus en plus nombreux à prendre conscience qu’il s’agit d’une véritable affaire d’Etat, c’est-à-dire une question de sens et de finalité : quelle société voulons-nous ? Quel enseignement le gouvernement veut-il mettre en place pour aider chaque jeune à construire sa vie d’adulte ?

Entre une fin de non-recevoir et notre lettre portée manuellement par nos soins aux Services du Premier ministre et, soi-disant « perdue » dans les couloirs de Matignon, le silence du ministre de l’Education nationale et du Premier ministre est incompréhensible autant qu’assourdissant. Serait-ce le signe de leur embarras et de leur incapacité à sortir de l’impasse ?

Le directeur de cabinet du ministre de l’Education nationale tout en affirmant que « la théorie du gender est scientifique », a admis que « certaines pages des livres pouvaient porter à perturbation ». C’est reconnaître implicitement que certains livres posent un problème pour les élèves.

La seule réponse est venue de l’Elysée [1] qui semble avoir pris conscience de l’ampleur du danger, sans en tirer les conséquences qui s’imposent. Le chef de Cabinet du Président, Monsieur Lambert, nous assure que les livres ont fait « l’objet d’une procédure extrêmement rigoureuse », ce qui n’a pas empêché plusieurs maisons d’édition de prendre la liberté d’associer « à un programme scientifique une matière qui relève de la sociologie ou de la philosophie », tout en reconnaissant leur maladresse dans l’interprétation des textes.

Où est la rigueur qui s’impose en la matière ?

Monsieur Lambert tente de nous rassurer en affirmant que la liberté de conscience des élèves et des parents sera respectée et que le gouvernement n’adhère pas à cette théorie qui ne peut en aucun cas s’imposer aux élèves et à leurs familles.

Dans ces conditions, pourquoi laisser entre les mains de nos enfants des livres dont le contenu fait la propagande d’une théorie que le gouvernement remet en cause ? Peut-on accepter que les enfants de France servent de cobayes à des théories de déconstruction ? Ce serait contredire la neutralité de la République et mettre en danger des adolescents. Le respect de la liberté de conscience n’est pas la seule réponse attendue.

Enfin, se défausser sur le professionnalisme des enseignants supposés capables de remettre les choses à leur place est un leurre car ils sont professeurs de SVT et non philosophes ou sociologues.

Si la présidence de la République a pris la mesure de la gravité de la situation objet de l’alerte que nous avons lancée le 27 mai dernier, il appartient maintenant au Premier ministre et au ministre de l’Education nationale de nous apporter des réponses crédibles et de prendre les mesures qui s’imposent pour mettre fin à ce scandale des manuels. Les Français attendent.

Nous sommes plus mobilisés que jamais sur ce sujet qui représente un vrai danger, car il touche à l’anthropologie de l’homme et de la femme, à la condition humaine et finalement engage l’avenir de notre civilisation.

C’est pourquoi nous vous demandons de continuer à soutenir notre démarche auprès du Premier ministre et du ministre de l’Education nationale.

Le gouvernement sous la pression des associations comme la nôtre et d’un nombre croissant de parlementaires commence à prendre conscience qu’il ne plus garder une attitude dilatoire et silencieuse.

Il faut maintenant obtenir le retrait de ces livres et que soient appliqués les articles 111-2 et 141-2 du code de l’éducation garantissant « le respect de l’action éducative des familles » et « un égal respect de toutes les croyances », comme le demande Valérie Boyer.

Puisque la Présidence de la République n’adhère pas à la théorie du gender du contenu dans les manuels de SVT ne cessez pas d’écrire et de faire écrire au Premier ministre et à ses conseillers pour obtenir le retrait de ces livres, aux adresses e.mail ci-dessous.



Elizabeth Montfort
Porte-parole de l’association pour la Fondation de Service politique
présidente de l’Alliance pour un nouveau féminisme européen
ancien député européen


Adresse e.mail des conseillers du Premier Ministre :

Cabinet du Premier ministre : sylvie.fourmont@pm.gouv.fr

Directeur de cabinet : sec.jean-paul.faugere@pm.gouv.fr

Conseiller pour l'éducation, l'enseignement et la recherche : jean.sarrazin@pm.gouv.fr

Conseiller technique à l'éducation : didier.vin-datiche@pm.gouv.fr

Modèle de courrier :

Monsieur le Premier ministre,

Puisque la Présidence de la République n’adhère pas à la théorie du gender nous vous demandons de faire cesser immédiatement la diffusion de la théorie du gender dans les livres et les manuels scolaires comme vision éducative de notre société.

Alors que l'UMP rappelait récemment qu' « il y a une dimension essentielle à préserver dans l'altérité sexuelle », cette théorie subversive ne peut que troubler les jeunes à l'âge où ils ont besoin de références structurantes.

La théorie du gender n'est pas une théorie scientifique, mais relève du débat. Nous vous demandons d'organiser, dès la rentrée de septembre, une convention ouverte où pourront s'exprimer des experts (philosophes, juristes, psychanalystes, éducateurs...) ainsi que des élus et des représentants de la société civile.
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