Lys de France
Nombre de messages : 1006 Age : 35 Localisation : Pontivy Date d'inscription : 03/07/2010
| Sujet: Patrimoine breton en péril Jeu 16 Fév - 22:38 | |
| Voici une série d'article très bien faite parue dans l'ABP ( http://www.agencebretagnepresse.com), écrite par un jeune étudiant bien formé... On dira pas qui c'est ! Article 1 Patrimoine religieux http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=24638Si l'on faisait une carte des églises, chapelles, couvents etc. en péril, la plupart des sites se trouveraient dans les limites de la Loire-Atlantique. C'est aussi le département qui compte le plus d'édifices du XIXe siècle, de surcroît souvent construits à la va-vite et en pierres de mauvaise qualité.
Côtes d'Armor et Finistère : quelques églises fermées, mais très dégradées
A PLOUNERIN dans les Côtes d'Armor se trouve une église, fermée étant donné la dégradation de son état intérieur. Un référendum local l'a sauvé de la démolition, les habitants ayant préféré s'imposer plus pour la restaurer [ Voir le site ] A TREMARGAT dans le même département, l'église Notre-Dame, bâtie au XIXe dans ce petit village de 170 habitants, est fermée et nécessite 450.000 € de travaux, une somme très lourde pour cette collectivité. La commune en est à choisir le maître d'œuvre des travaux afin de sauver l'église et son unique chemin de croix peint par Hubert Sainte-Marie dans les années 1950. Cette œuvre est sauvegardée… au Japon où elle a intéressé des chercheurs ! Dans le Finistère voisin, l'église de PLOUGOURVEST est fermée au public depuis mai 2011 à cause de l'état de la toiture qui menace de s'effondrer, le coût des travaux est estimé à 2 millions d'€ et est donc trop lourd pour la seule commune. Enfin BOTMEUR abrite une église actuellement sans propriétaire connu. très dégradée, les derniers travaux de grande ampleur remontent à 1935 après un incendie. Le clocher est inaccessible (escalier pourri). C'est une des dernières églises du Finistère à avoir été construite en pierre, sur les fonds de quinze particuliers et après la loi de 1905. La petite commune, toujours touchée par l'exode rural, envisage de s'en porter acquéreur suivant la procédure des biens dits « sans maître », afin de la restaurer. La suite à lire ici : http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=24638 | |
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