Julien
Nombre de messages : 288 Age : 46 Localisation : Nantes Date d'inscription : 03/03/2007
| Sujet: Noyades de Nantes Dim 25 Nov - 8:21 | |
| Pour les noyades peut de monde au final 50 personnes mais des discutions avec les personnes dans la rue. Les gents s'interrogent et interrogent sans hostilité ! Un tract sera à prévoir pour les 220 ans ! Un problème a eu lieux malheureusement au niveau des envois des mails car après j'ai partagé avec nombres d'amis qui n'étaient pas au courant de cette journée. Enfin pour l'URBVM c'est une bonne journée avec la prises de 5 nouveaux contacts qui sont intéressés par nos activités. Il va falloir commencer à prévoir l'année prochaine.
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Lys de France
Nombre de messages : 1006 Age : 35 Localisation : Pontivy Date d'inscription : 03/07/2010
| Sujet: Re: Noyades de Nantes Mer 28 Nov - 21:50 | |
| Petit compte rendu à lire ici : http://urbvm.com/commemoration-des-noyades-de-nantes-une-journee-riche-en-emotions/Répondant hier à l’appel du Souvenir Chouan de Bretagne, les participants à la journée de commémoration des Noyades de Nantes ont eu un programme chargé, couronné en fin d’après-midi par un jeté de gerbe dans la Loire particulièrement réussi.
Il n’est pas toujours aisé de coordonner un programme de visites dans une grande ville où les indispensables déplacements en voiture rendent parfois les horaires aléatoires. Si certaines étapes annoncées ont pâti de cette contrainte, l’essentiel a toutefois été assuré, à commencer par la découverte de la cathédrale Saint-Pierre et son admirable tombeau de François II de Bretagne et de Marguerite de Foix, les parents de la duchesse Anne. Les participants se sont alors portés à quelques pas de là, vers la colonne de Louis XVI que les travaux de restauration rendront comme neuve pour le 220e anniversaire de l’exécution du roi martyr.
Le déjeuner prolongé a bousculé les visites prévues à l’église Sainte-Croix où Carrier annonça du haut de la chaire les premières noyades, le 16 novembre 1793, ainsi qu’à l’ancienne chapelle du couvent des Carmes. Des renforts sont cependant venus grossir notre groupe devant l’Entrepôt des Cafés, pour une évocation des conditions de vie effroyables des prisonniers, des femmes et des enfants pour l’essentiel, dans ce site concentrationnaire dont l’Histoire offre peu d’exemples aussi abjects. La plupart des bâtiments de cet immense camp de la mort ont disparu, mais nous avons tout de même eu la chance de voir le vieil escalier de chêne qui desservait les geôles fétides sur plusieurs étages.
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