à lire ici :http://unionroyalistebvm.over-blog.com/article-quand-la-cathophobie-fait-vendre-79608173.html
Le journal Libération s'est récemment enrichi d'une chronique pour le moins controversé : "Tous en Cène", titre qui devrait commencer à attirer l'attention du premier catholique venu. Dans la veine d'un "Judas" à la Gaga, les deux auteurs ont, sous un fallacieux prétexte humoristique, exprimé leur haine cristalline contre la religion catholique, passant d'un odieux "fils de p...te" aux insultes gratuites contre les prêtres.
Oui, malheureusement, la cathophobie fait vendre... Dans un régime qui a hypocritement élevé le respect au sein des "valeurs morales de la république". L'application partielle et partiale de cette "laïcité républicaine", vaste mascarade pour tout homme de bonne intelligence, permet donc à des individus (et non journalistes) de déverser leur fiel sur la religion catholique sans aucun risque de procès ni de réponses. On se rappelle encore la pitoyable affaire du "Piss Christ".
Pourtant, force est de constater que nombre de ces injures et insultes gratuites pourraient tomber sous le coup de la loi. Dans l'article 29 alinéa 2 de la Loi sur la Liberté de la Presse, l'injure est définie comme "Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait" ; mais repose également sur quatre points essentiels : désignation, intention coupable, publicité et propos outrageant.
En prenant l'exemple des injures gratuites contre le clergé (pédophiles, etc...) :
- Désignation : qualifiant clairement les membres du clergé catholiques (prêtres), il s'agit là d'une désignation explicite et sans ambiguité.
- Intention coupable : les multiples itérations des injures contre les prêtres catholiques indiquent clairement qu'il ne s'agit pas là d'une "coquille" journalistique mais provient bien d'une évidente intention blessante et infâmante.
- Publicité : Le simple fait que le journal Libération lui consacre 5 pages dans son édition du Dimanche répond allègrement à ce critère.
- Propos outrageant : "Pédophiles" par exemple : classée maladie mentale par le classement CIM et paraphilie (perversion) par le DSM, et très fortement condamnée par la législation française...
Mais voilà, la justice française n'interviendra évidemment pas dans cette affaire. Relativisation de la haine cathophobe, revalorisation du "trait" humoristique (qui reste encore à démontrer), toutes les excuses seront bonnes pour laisser ces insultes se répandre allègrement dans les foyers français.
Malheureusement, l'hypocrisie de la justice française qui n'a d'égale que l'intrinsèque haine anti-catholique de la république, a permis à ces insultes de passer un grand cap révélateur : elles passent d'un cadre exceptionnel et illégales à un cadre habituel et légal. Ainsi, insulter les catholiques devient non seulement habituel et courant , mais surtout devient légal, donc en accord avec les lois de la république....
C'est cette hypocrisie notable qu'il convient de dénoncer, c'est cet infame "laïcisme" républicain qu'il faut combattre. En ôtant le recours juridique aux catholiques, la république tente d'annihiler leurs répliques. Catholiques, allez vous vous laissez insulter ainsi ? Allez vous laisser des journaux à grands tirages déverser leur haine contre votre religion sans rien faire ?
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